La faiblesse féminine est à la base de tout

Les dires des les hommes qui parlent de la faiblesse des femmes, qui autrefois était un facteur objectif, se transforment aujourd’hui en tout un culte.

C’est un fait établi, la femme s’octroie certains droits en prenant pour excuse sa « faiblesse ». Je suis faible, donc, j’ai droit à tout !

C’est pourquoi il est presque impossible de persuader une femme qu’elle est forte dans un domaine. La femme est persuadée qu’elle est faible en tout – physiquement et mentalement, elle est mise dans des conditions désavantageuses par la nature (exemple, la période de la fertilité assez courte), elle n’est pas capable de se contrôler à cause de sa forte émotivité…

Par contre, quand la femme a l’intérêt de paraître forte, pour recevoir un poste bien payé ou de préstige, elle nous assure de ses capacités mentales et volontaires qui égales avec celles d’un homme. « Est-ce qu’elle ne comprend pas qu’elle se contredit ?! » – s’étonne l’homme. Non, elle ne l’aperçoit pas.

La femme croit à la faiblesse d’un trait intégré de son identité. Elle ne se dit pas : « Je suis faible », mais : « Je dois être faible pour être femme ». La femme peut renoncer à certains intérêts, perdre, mais ne peut pas détruire l’impression de faiblesse.

Exemple : le sac à main que les voleurs peuvent arracher à chaque pas. Pourquoi la femme continue à y porter ses clés, ses papiers, son argent ? La femme est sûre que c’est très féminin, puisque ce n’est pas rationnel.

De même avec le téléphone portable. L’homme le porte toujours sur lui, dans une poche ou dans un étui accroché à la ceinture. La femme oublie son téléphone à la maison, ou il est laissé sur la table de son bureau – en résultat, elle ne peut pas téléphoner ou elle ne répond pas aux appels. Il ne faut pas penser que cette conduite est bien réfléchie. C’est simplement que le fait d’avoir son portable à porté de main – ça ressemble trop à l’attitude d’homme …

Quelles conclusions tire une femme de la conscience de sa faiblesse et de la force de l’homme ?

–          « ils doivent me donner tout ce que je veux ». « Tout » dépend de la femme et de ses exigences.

–          « je ne suis pas coupable de tout ce qui se passe parce que je suis faible ».

–          « tous les problèmes doivent être réglés par celui qui peut le faire, ce qui veut dire, par l’homme ».

–          « puisque les hommes sont plus forts, on peut les utiliser comme on veut ».

–          « je ne suis pas obligée de respecter les intérêts de l’homme, j’en ai déjà fort à faire avec les miens ».

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